La
fin des Flots et SPCC.
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Dans les années 1890
le flottage à bûches perdues périclite. S’il y a encore 65
000 stères qui arrivent dans les Vaux d’Yonne, ce ne seront que 40
000 en 1900, et les Petites Rivières auront cessé leur activité. Le dernier flot
arrache l’arrêt de La Forêt en 1923; la Cure poursuit jusqu’en
1927. A
la fin du 19ème siècle s’installe une usine de
carbonisation dans l’ancien vieux port, sur l’emplacement d’un
moulin à tan. Il s’agit maintenant d’extraire des produits chimiques (méthanol, acide acétique…) et de commercialiser du charbon de bois épuré. En association avec les Soieries de Lyon, dès 1922, elle va s’agrandir pour occuper jusqu’à 50 hectares dans son grand développement après la seconde guerre mondiale. Le ravitaillement en charbonnette se faisait au début à l’aide de chevaux et de bateaux. En 1953 une filiale s’occupera spécialement du transport. Ce sera la SFCC motorisée. |
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Tout s’éteint vers 1970. |